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La saison des pluies approche avec le lot de crises de paludisme qu'elle génère. C'est le moment de parler de cette plante aux vertus innombrables : l'Artemisia annua.
La famille POUSSIN de Madatrek est le meilleur ambassadeur de l'artémia. Alexandre POUSSIN, sauvé par l'artémisia en Afrique, travaille avec la Maison de l'artémisia pour rendre accessible aux autochtones cette plante fabuleuse.
La communauté scientifique internationale reconnaît enfin le savoir-faire des tradi-praticiens !
Le premier Sommet mondial de l’OMS sur la médecine traditionnelle a eu lieu les 17 et 18 août 2023 à Gandhinagar, Gujarat (Inde).
Il a été organisé parallèlement à la réunion des ministres de la Santé du G20, afin de mobiliser l’engagement politique et l’action fondée sur des données probantes en faveur de la médecine traditionnelle qui constitue le premier passage pour des millions de personnes dans le monde pour répondre à leurs besoins en matière de santé et de bien-être.
En espérant que le G20 n'a pas d'arrière pensée de breveter le vivant au détriment des pays n'ayant pas les moyens de promouvoir et de défendre leur patrimoine culturel et sanitaire !
Voici une plante qui a marqué mon adolescence. Non parce que je l'ai consommé mais plutôt car j'étais de corvée pour aller la cueillir et la conditionner pour les patients de mon père médecin.
Euphorbia hirta est particulièrement efficace pour soulager les crises d'asthme !
Les simples ou simples médecines (simplicis medicinae ou simplicis herbae selon ses appellations latines) était le nom donné au Moyen Âge aux plantes médicinales.
Un médicament est toute substance ou composition présentée comme possédant des propriétés curatives ou préventives à l'égard des maladies.
La pharmacopée définit des critères de pureté pour la fabrication des médicaments (à usage humain ou vétérinaire) des matières premières.
Dans le manuscrit du Dr Antoine Marie RAMARLAH, les Bara du Sud malgache croyaient à l'efficacité des ODY ou remèdes traditionnels.
Aujourd'hui le FANAFODY n'a pas la même consonance péjorative que les traditionnels ODY.
En 1962, le Dr Joseph Charles RAMARLAH a quadrillé l'immense région de la province de Majunga en tant que médecin chef du groupe mobile d'hygiène luttant contre la tuberculose.
61 ans après, la communauté internationale et les dirigeants malgaches se sont enfin rendus compte que C'EST la solution de santé public pour désenclavé la ruralité malgache, où les infrastructures n'existent plus par rapport à leur état initial au moment de l'indépendance !
On se congratule d'avoir réinventer le fil à couper le beurre !
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